Le plasma riche en plaquettes ou PRP est un type de thérapie par injection régénérative utilisée pour traiter de nombreuses blessures des tissus mous (tendons et ligaments).

Le PRP consiste à prélever du sang dans une veine du bras et à le placer dans une centrifugeuse spéciale. Les plaquettes sont séparées du reste des composants du sang. Les plaquettes sont combinées avec un substrat spécial pour améliorer les effets. Celui-ci est ensuite injecté dans la zone blessée ou douloureuse. Une fois la guérison terminée, en quelques semaines, la douleur devrait s’atténuer.

Non. Les injections de cortisone sont des corticostéroïdes synthétiques qui sont injectés dans les articulations ou les zones des tissus mous pour réduire la douleur et l’inflammation. Bien que les injections de cortisone en quantités limitées puissent être utiles, elles ne modifient pas la cause sous-jacente (processus de la maladie) et doivent donc souvent être répétées. Il existe de nombreux risques documentés d’avoir « trop de cortisone » et de supprimer le système immunitaire. Le PRP consiste à utiliser le propre sang du patient qui contient des facteurs de croissance naturels qui favorisent la régénération des tissus et une diminution de l’inflammation. Le PRP se veut un traitement curatif, contrairement à la cortisone. Le PRP n’a pas les mêmes effets secondaires que la cortisone.

Douleur au cou et au dos, douleur à l’épaule, blessure à la coiffe des rotateurs, douleur au genou, bursite du genou, tennis elbow, coude du golfeur, douleur chronique à la cheville, tendinite d’Achille, bursite de la hanche.

Une consultation est nécessaire avant tout traitement. La consultation comprend un examen complet de vos plaintes, de vos antécédents médicaux et un examen approfondi sera effectué. Des études diagnostiques seront examinées et/ou commandées au moment de la consultation pour déterminer la cause de votre (vos) plainte(s). Une fois le diagnostic établi, Pixl Clinic discutera avec vous des options de traitement, y compris si vous êtes candidat au PRP. Souvent, d’autres traitements non chirurgicaux peuvent être essayés en premier. Le PRP n’est souvent qu’un élément d’un programme de traitement complet.

Selon le nombre de zones à traiter, la plupart des procédures seront terminées de 30 à 45 minutes.

Bien que les tolérances à la douleur de chacun varient, les patients rapportent une gamme d’inconfort allant de léger à modéré avec les injections de PRP. Une aiguille est utilisée pour prélever le sang d’une veine du bras au départ, puis de petites aiguilles sont utilisées pour effectuer l’injection ou les injections.

La réponse à cela est simple. Le PRP ne « masque » pas votre douleur et d’autres symptômes comme les analgésiques. Si le PRP vous a aidé, vous remarquerez une différence dans votre niveau de douleur et votre fonction globale. De nombreux patients verront initialement une augmentation des niveaux de douleur globale, mais au fur et à mesure que le processus de guérison se produit, les symptômes devraient disparaître progressivement au cours de 4 à 6 semaines en moyenne. Cela dépend beaucoup du niveau de santé général du patient, de son âge, de son régime alimentaire et de son niveau d’activité. Pour certains patients, des traitements répétés peuvent être nécessaires.

Ceci est différent pour tout le monde. Cela dépend beaucoup du processus pathologique sous-jacent et de l’existence ou non d’une blessure récurrente dans la zone touchée. Il est impossible de prédire si et quand d’autres traitements seront nécessaires pour une condition spécifique. Dans certains cas, les patients reviennent des mois ou des années plus tard pour des injections répétées de PRP.

La plupart des compagnies d’assurance considèrent le PRP comme expérimental car il n’y a pas eu suffisamment d’études de grande envergure sur le PRP. Comme d’autres nouvelles technologies médicales, la science derrière le PRP est encore en développement. Il existe de nombreuses études de niveau I et II attestant de l’innocuité et de l’efficacité de l’utilisation dans des conditions musculo-squelettiques spécifiques.